Il y a eu d’abord une seule Monstera Minima. Qu’on appelle donc Rhaphidophora tetrasperma. Elle est arrivée pour la fête des mères l’an dernier. J’étais heureuse comme une gosse. Fan de son port et de ses feuilles graphiques. Et de cette ressemblance lointaine et parfois proche avec la monstera deliciosa.
Entre temps, une autre monstera minima est arrivée chez nous. Je ne sais plus quand. Quelques mois après la première je crois. Plusieurs pieds au lieu d’un seul dans le pot. Un port plus court. Un effet retombant pour les quelques tiges présentes. Bref, j’avais cette impression d’avoir une plante différente alors que ce sont bien les mêmes.
Elles sont depuis installées ensemble sur notre étagère murale Ripaton. Une étagère ripaton assez large pour accueillir de trois à cinq pots de taille moyenne. Parfaite donc pour installer les deux minima l’une à côté de l’autre et les voir évoluer chacune à leur façon.
La pousse de notre première monstera minima a été si rapide en un an à peine, que je lui ai installé un tuteur. Sa copine en revanche, préfère s’étaler en largeur avec un port plus touffu qui lui donne des airs de plante rampante.
Pas encore de boutures à ce jour. Manque de temps, de place. Mais aussi l’impression que les deux plantes sont encore trop jeunes pour ça. Je n’y vois pas de ramifications ou petites pousses à la base des pieds pour m’y mettre.
Leur entretien en cette saison froide est limité voir inexistant. Peu d’eau toutes les deux semaines et encore. Une ou deux feuilles perdues sur la première plante. Mais elles ne bougent pas.
La monstera minima confirme donc ce que j’en savais. Elle est aussi belle que simple à entretenir. Aussi rapide en pousse et évolution, qu’elle est graphique. Bref. C’est un vrai plaisir que d’avoir cette plante tropicale à la maison, avec deux individus qui se ressemblent autant qu’ils évoluent différemment.
En savoir plus sur Strawberries
Subscribe to get the latest posts sent to your email.