Je me souviens quand j’étais enceinte de notre petit garçon. De combien ça pouvait être douloureux. J’ai la chance de ne pas être y être souvent sujette. Aussi, je ne vais pas me plaindre. Au contraire. J’en ai rarement eu. Sauf dans des cas exceptionnels comme pendant la grossesse. Ou bien juste après cette opération en 2015 pour retirer des lésions d’endométriose.
Le fait est qu’on peut toutes/tous y être sujets. Plus ou moins fréquemment selon les périodes. Et plus ou moins intensément. Et c’est quelques fois si inconfortable, que s’il existe des moyens de prévenir les infections urinaires, alors autant s’y intéresser.
Une pathologie qui peut toucher tout le monde
Homme ou femme, même combat. Même si les femmes sont statistiquement plus fréquemment atteintes. On peut être touché même avec une bonne hygiène de vie. C’est ça qui est fou. Cela survient sans prévenir. On commence parfois par ressentir de la gêne. De l’inconfort. Puis dans certains cas, ce sont des douleurs qui laissent peu de doutes sur le pourquoi on a mal.
Pourtant, il existe des cas pour lesquels, notamment chez l’homme, des douleurs qui pourraient être le signe d’une sténose de l’urètre. Alors non, les femmes ne sont pas les seules à souffrir de cette pathologique qui touche une zone intime. Pathologie qui chose heureuse, devient de moins en moins tabou.
Alors quand on a l’impression qu’on est touché, il faut consulter. Pour se soigner d’abord, mais aussi pour connaître l’origine de l’infection et par la suite, mieux la prévenir. Et bien entendu, pour éviter qu’elle ne puisse se compliquer.
Sont-elles graves ?
La plupart du temps non, heureusement. Elles sont surtout très inconfortables car elles obligent à se rendre souvent au petit coin pour pas grand chose. Grand moment de solitude quand on est atteint(e) et qu’on a au moins deux heures de trajet en transport en commun. Quoi ça sent le vécu ? Sans doute parce que j’ai déjà connu ça. Et que je n’en menais pas large sur le moment.
En l’occurrence, il y a plusieurs types d’infection urinaire. La plus commune étant celle qu’on pourra facilement traiter avec des antibiotiques. Un médecin généraliste pouvant parfaitement être consulté dans tel cas puisque c’est une plainte relativement courante, a priori.
Comment la prévenir ?
J’ai souvent entendu qu’il fallait boire beaucoup pour éviter d’avoir une cystite. J’ai aussi longtemps cru que c’était un truc de grand-mère qui ne marchait sûrement pas. Pourtant si, boire beaucoup d’eau pourrait aider à réduire le risque d’être touchée, notamment chez la femme. Il est d’ailleurs conseillé de boire au moins un litre et demi d’eau par jour. Ensuite, il ne faut pas se retenir. Ou le moins possible. L’hygiène est bien sûr importante, sans surprise.
Depuis que je sais tout cela, je bois beaucoup d’eau. Je fais attention à ne pas trop attendre avant de me soulager. Et maintenant que notre petit garçon est propre, je fais en sorte de lui rappeler régulièrement qu’il est important qu’il nous prévienne dès qu’il a envie. Parce que ça contribue à le maintenir propre. Mais aussi parce que ça nous aidera peut-être qui sait, à prévenir la survenue d’infections.
Si ces gestes simples peuvent aider, autant les appliquer. Sachant que de toutes façons, ils font partie de bonnes habitudes relativement préconisées par ailleurs.
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