S’il est une plante grasse qui m’envoute, c’est bien l’aeonium. Quelle que soit sa forme d’ailleurs. J’en ai eu plusieurs mais à l’époque, je ne les connaissais pas assez je crois pour bien les entretenir. Pourtant, en attendant d’en avoir à nouveau, je me documente afin de mieux les connaître et bien m’en occuper. Cette plante grasse parfaite en rocaille, est d’ailleurs connue pour pouvoir vivre dehors et être résistante. Certains en revanche, craindraient le gel.
L’aeonium et sa diversité
Si on peut constater une chose, c’est qu’il y a une grande diversité chez l’aeonium. Qu’on pense à l’aeonium tabuliforme ou à l’arboreum, on ne peut que voir combien ils sont différents tout en étant envoutants. On peut les reconnaître à leurs feuilles souvent assez longues et plates, ce qui les différencie de beaucoup d’autres plantes grasses. Pourtant elles restent des succulentes comme les autres.
Leur tronc est également assez caractéristique.
La particularité notable de beaucoup d’aeonium est qu’il est au repos pendant l’été tandis que sa croissance et sa pousse auront lieu plutôt en automne et hiver, à savoir plus d’octobre novembre à mars avril.
Son bouturage par tige se fait plutôt vers avril.

aeonium Schwarzkopf

aeonium sunburst

Aeonium tabuliforme
La floraison de l’aeonium
Lorsque l’aeonium fleurit, il n’est pas rare que la rosette ayant fleuri, périsse peu après par épuisement.
Et si on se cultivait !
La plupart des aeonium sont originaires des îles Canaries. On peut cependant en trouver dont les origines sont plutôt de l’Afrique du Nord, dont le Maroc. Idem pour l’Ethiopie et Madère.
Ils font d’ailleurs partie des Crassulaceae.