Un jour j’aurais de la glycine !

S’il est quelque chose que j’aime au printemps et surtout aux environs d’avril et mai, c’est m’autoriser des petites sorties dans le coin. Tout simplement parce que c’est en général le moment de la floraison des cerisiers japonais dans les quartiers voisins. Mais aussi des glycines, dont notre rue est particulièrement remplie.

La glycine et son parfum

Même en passant sur le trottoir d’en face, lorsque la glycine est déjà bien fleurie, on peut en sentir le parfum si caractéristique et doux. Un vrai plaisir. Dès que nous nous rendons à l’école le matin en semaine ou que je vais chercher Anthony le soir, je sens ce doux parfum que j’espère avoir à nous un jour dans un bout de jardin.

Une glycine sur notre balcon ?

J’ai déjà évidemment pensé à installer une toute petite glycine sur notre balcon. J’adorerai et j’y pense tous les ans à la même époque. Mais ce ne serait pas vraiment un bon plan je pense dans le sens où cela pourrait rapidement devenir envahissant mais aussi potentiellement gênant pour nos voisins du dessous. Quand les fleurs et feuilles mortes tomberont, ce sera sur leur balcon ou au rez de chaussée dans la cour. Alors j’en rêve oui, mais je crains que ce ne soit pas compatible. Aussi, cela attendra le jour où nous aurons notre bout de jardin et pourquoi pas la maison de nos rêves !

Je pourrais probablement prendre une glycine petite en pot. Mais elle n’aurait pas la latitude de pouvoir pousser comme elle veut. Pourrais-je vraiment réussir à la maintenir sur la durée ? J’ai des gros doutes.

Pourquoi j’aime autant la glycine ?

Elle dure longtemps, elle est belle, elle sent bon et elle va partout ! Elle est parfaite en plante ornementale sur les barrières ou clôtures des maisons et cours. Ici dans le secteur, elle est présente surtout côté rue. Que ce soit autour de petits pavillons ou dans de superbes propriétés.

Cette plante grimpante fait partie de celles que j’adorerai avoir. Mais j’aime aussi me contenter de sentir et découvrir celles qu’on peut croiser tous les 100 mètres dans la ville. C’est très fréquent de la voir par ici et je m’en réjouis. J’aime la glycine parce que même dans des lieux très urbanisés comme dans cette ville de banlieue parisienne où nous vivons depuis 10 ans, cela met de la nature, de la couleur et des doux parfums fleuris lorsqu’on sort de chez soi au printemps.

Je la préfère violette plutôt que blanche, mais je crois que si j’en avais de la blanche, ça m’irait parfaitement tant que j’en ai !

Cette année, je n’ai pas encore réussi à retrouver un aussi beau spectacle que celui aperçu il y a environ deux ans dans une rue voisine. Une glycine grimpante était si répandue en dehors de la propriété en question qu’elle s’invitait en hauteur dans la rue. En passant avec mon petit chéri en poussette, j’avais halluciné en levant la tête. Un vrai ciel de glycine nous couvrait et nous protégeait d’un soleil très fort.

Je crois que depuis cette glycine est taillée mais si j’y passe, alors je regarderai si toutefois elle a bien poussé depuis !

J’adore cette photo qui me replonge dans ce plafond de fleurs. Et quel parfum !