Cela fait déjà plusieurs mois que ces feuilles de plantes grasses étaient dans cette boîte. Presque oubliées d’ailleurs. Elles poussent à leur rythme. Doucement je trouve. Mais peu importe tant qu’elles tiennent. Je leur ai peu voir pas apporté de quoi les hydrater. Mea culpa.
Les voilà à l’époque. En forme, fraîches. Après plusieurs jours à cicatriser je ne sais où. Depuis, certaines sont mortes. D’autres ont pris.
Qu’en est-il aujourd’hui ? Voici un début de réponse en photo. Certaines feuilles furent retirées entre temps mais j’avoue ne pas me souvenir des détails D’autres furent installées a posteriori. Les feuilles principales de départ montrent au minimum des racines. La plupart ayant une petite tige et des feuilles
Aussi, j’espère qu’elles vont continuer à tenir et pousser. Je vais essayer de moins les oublier. Elles sont désormais bien visibles pour que je les rate moins.
Pour les boutures de tiges lancées vers la fin du printemps, ça pousse bien. Deux sont déjà parties en cadeau. Deux autres sont en bord de fenêtre. Sans crainte pour ces jours-ci où la température dehors est proche de 0°C degrés. Je sais que la plante mère tient le coup chaque hiver même s’il gèle. Les filles tiennent le coup.
Substrat de ces boutures de feuilles de plantes grasses et hormones de bouturage
Vivement les beaux jours pour que tout ce petit monde prenne un coup de fouet et devienne une floppée de petites plantes filles. J’ai un petit pot en céramique dans lequel une trentaine d’autres feuilles de plante grasse attendent d’être bouturées. J’avoue que le terreau spécial plantes grasses aide bien sur ces boutures. Première fois que je le testais et j’en suis satisfaite. Je pense renouveler l’opération dès que la période très froide dehors sera passée. Je teste différents substrats régulièrement. il faudra que je vienne partager ici mes expériences. Ceci dit, la plupart des terreaux conviennent pour des boutures de feuilles. J’en ai vu prendre dans du terreau de jardin sans demander leur reste ! Alors il ne faut clairement pas bloquer là-dessus.
Je précise que je n’utilise pas d’hormones de bouturage. J’ai tenté une fois en 2015 ou 2016. Jamais refait. Je fais ça à l’ancienne, au feeling. Si ça prend en l’état c’est bien, sinon, c’est dommage mais pas dramatique (encore heureux !).
Environnement des boutures
Ces boutures restent à l’intérieur depuis le début (mai/juin 2021). Je pense les passer au printemps sur le balcon sous notre table, afin de les protéger du soleil direct et de la pluie. Je sais par expérience que cette plante grasse en particulier est sacrément résistante. Une sacrée warrior comme je les aime. Je sais aussi que les plantes grasses sont plus heureuses dehors pour la plupart. En tout cas celles qui ne craignent pas le gel.
Apprendre toujours
Je n’ai pas d’espace extérieur sauf les bords de fenêtres et le balcon. Aussi, dès ce printemps, depuis que nous avons commencé à réaménagé ce fameux balcon, beaucoup de plantes grasses y emménageront durablement. Histoire de leur proposer un cadre moins étroit que le bord de fenêtre de cuisine.
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