C’est l’histoire de la Collection de Pilea Peperomioïdes

Cela avait commencé avec un premier Pilea Peperomioïdes sur lequel j’étais tombée au hasard en parcourant quelques rayons en jardinerie, en l’occurrence chez Truffaut. Puis, avec un second acquis via Karnivores sur la toile. Deux boutures jolies boutures plus tard, la collection s’est terminée avec un dernier Piléa récemment acquis, qui promet déjà de futures nouvelles pousses.

Le Piléa, c’est une très belle plante au feuilles rondes, à laquelle on prête divers surnoms, comme Plante à la monnaie chinoise ou encore plante du Missionnaire. Une plante qui apporterait la prospérité, notamment si on place une pièce de monnaie à son pied.

Pour ma part, je me contente d’apprécier pour son aspect graphique si particulier mais aussi pour sa facilité d’entretien.

L’Entretien du Piléa Peperomioïdes

Je profite d’ailleurs de ce petit article pour partager sur le fait que rapidement, j’ai pu constater une différence quant à l’évolution de certains des piléas que j’ai, ce selon leurs origines.
Au début, je n’avais que deux pots. Le premier trouvé en jardinerie, allait bien. Puis en deux à trois semaines, il a commencé à ne plus être aussi vif qu’à l’origine. Les tiges n’étaient plus dressées, les feuilles semblaient comme éteintes.
Tandis que le second piléa, plus petit, était lui super bien portant. Celui acquis via Karnivores.
Je me suis donc interrogée sur l’entretien que je leur portais, me demandant si je n’avais pas fait quelque chose qui expliquerait pourquoi le premier n’avait pas la forme alors que l’autre était pimpant.

Puis, je me suis souvenue qu’il arrive souvent que la terre d’une plante acquise en jardinerie, ne fasse pas le job. C’est hélas courant. Je le déplore régulièrement. Cela n’est d’expérience pas imputable à l’enseigne elle-même la plupart du temps, mais à certains fournisseurs qui selon les plantes, proposent des pots dans lesquels la terre est déjà très appauvrie.

Bref, c’est donc après un rempotage drastique et une dizaine de jours plus tard que le premier Piléa s’est enfin redressé comme sa nature le veut :) Comme quoi, il arrive parfois que l’entretien des plantes ne soient pas à remettre en cause quand certaines montrent des signes de fatigue. Très souvent, trop à mon goût, la terre n’est pas ou plus suffisamment riche pour nourrir la plante. Auquel cas, le rempotage peut aider la plante à mieux se porter.

Pour le coup, le piléa peperomioïdes est très simple d’entretien. Il est vraiment facile à gérer. Un arrosage généreux sans détremper la terre suffit. Une luminosité généreuse sans soleil direct est parfaite pour lui.
Par ici, les pots sont toujours à moins de 2 mètres des fenêtres sans donc jamais de soleil direct mais avec une une bonne lumière naturelle. Jusque là, pas de problèmes de surexposition ou de manque d’exposition. La Plante est vraiment très tolérante.

Quant à l’ajout d’engrais, je me contente de la dose minimale d’un engrais liquide bio :)

Les Boutures de Pilea Peperomioïdes

J’ai remarqué que dès lors où une plante est en bonne santé, elle propose très souvent des rejets à son pied, mêmes s’ils sont très discrets et petits. De quoi donc s’aventurer à tenter quelques boutures. Pour le coup, j’ai toujours attendu que les rejets soient d’un minimum d’une huitaine de centimètres pour en prélever.

Pilea Peperomioides Bouture

Les boutures de Pileas sont vraiment assez simples à gérer. Petit passage dans de l’eau le temps de faire sortir les racines, puis hop en terre !

Ensuite, s’agissant des éventuels parasites, le Pilea Peperomioides n’est hélas pas insensibles à certaines plaies comme les cochenilles. Pour ma part, j’ai cru à une attaque avec le tout premier, mais heureusement, ce n’était pas le cas. Ouf :)

Pilea Peperomioides Profil

La Collection de cette jolie plante d’origine chinoise, est aujourd’hui volontairement limitée à 5 de ses représentantes, disséminées un peu partout dans le coin. Chambres, cuisine. Là où la lumière est suffisante toute la journée pour que les plantes se sentent bien.

Une collection qui ne s’agrandira qu’avec de futures boutures, que j’offrirai pour la plupart. Manque de place voyez-vous ^^ Et puis, cette plante a un tel succès qu’il me semble évident de la partager :)

On trouve désormais assez facilement le Pilea Peperomioïdes en jardinerie dans toutes sortes de conditionnements (Kokedama, en suspension ou en simple pot). J’en déjà vu en terrariums intégralement fermés. Je n’ai toujours pas compris l’intérêt d’avoir un terrarium si la plante ne pas respirer… Mais bref ! Si vous êtes en région parisienne, je peux vous aiguiller sur les anciennes qui sont des stocks réguliers :)

Sinon, le meilleur moyen reste de partager des jolies boutures ! Et de débuter ou compléter une petite collection ;) Attention, la collectionnite, quand elle vous atteint, ensuite c’est foutu ^^ !

Parole d’une Green Addict désormais totalement prise dans le tourbillon :) !

 

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Griselidis
Griselidis

Maman depuis septembre 2018, j'alimente cet humble blog avec des tranches de vie du quotidien depuis plus de 9 ans. En partageant sur les plantes de notre jungle intérieure ou encore sur notre vie de famille recomposée

Un commentaire

  1. mon premier bébé plante, c’est avec elle que j’ai commencé. La premier que je n’ai pas tuée ahah!
    Elle est si belle et si grande maintenant et toute la famille a un bébé maintenant, j’en ai partout

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