Dans une autre vie, à savoir quand j’avais la vingtaine, je jouais régulièrement aux jeux vidéos. Quand quelque part sur ce blog, j’indiquais que j’étais une geekette, ce n’était donc pas seulement pour signaler que je connaissais quelques bidouilles techniques sur un PC ou encore que je savais réparer un Blog hors ligne. Ce que je sais réellement faire d’ailleurs. C’était aussi pour partager cette passion que j’ai pour les jeux. Même si selon les périodes de la vie, cette passion était mise de côté, pour des raisons diverses et variées. Assez classiques au demeurant, comme le manque de temps, de jeux qui me plaisaient. Ou encore parfois, pour des raisons de budget.
Aussi, quand l’occasion de m’équiper d’une petite console portative s’est présentée, sans que cela ne fasse justement de trou dans le budget, j’ai pensé que c’était le moment ou jamais. En l’occurrence, pour la Nintendo Switch, c’est en décembre 2019 environ, qu’elle est arrivée chez nous. Console portative personnelle qui permet de ne pas voir une console de salon qui prendrait la poussière parce que justement, je n’aurais peut-être parfois pas le temps d’y jouer pendant des semaines ou des mois.
Et si mon choix de l’époque s’était tourné vers la Swtich, c’est aussi parce qu’il y avait un jeu qui me faisait très envie, auquel je pensais depuis longtemps. Ce jeu, c’est donc Skyrim.
SKYRIM sur Nintendo Switch
Sorti en 2011 sur des supports comme PC, et sorti en 2017 sur la Switch, le jeu m’attirait parce que directement lié à l’univers de The Elder Scrolls. Univers que je connaissais déjà pour avoir beaucoup joué à Morrowind sur la toute première XBox dans les années 2000. Des jeux dans lesquels l’univers est très ouvert et où l’on peut quasiment faire tout ce que l’on veut avec son personnage. Ramasser des herbes, tuer des ennemis comme des ours qui en veulent à la peau de votre perso’. Ou encore lire des bouquins croisés lors de votre parcours.
Bref, dans ces jeux, il règne une ambiance que les amateurs de jeux vidéos ou de certaines séries animées croisent au moins une fois, à savoir l’ambiance Fantasy. Mêlée à du réalisme et une qualité graphique hyper soignée dans chaque opus, cette ambiance permet de choisir le type de personnage, en optant par exemple pour un Orque ou encore pour que l’on puisse incarner un mage.
Voilà ce que j’aime dans ces jeux de Bethesda. Sachant que la plupart du temps, la bande son elle-même, est vraiment géniale.
Voici d’ailleurs une petite vidéo de ce que l’on peut voir de ce jeu :
Ainsi que celle-ci qui donne une bonne idée de l’univers de ce jeu qui existe donc sur différents supports comme sur PC ou encore sur Playstation.
L’univers The Elder Scrolls sur petit écran et console portative
Un tel univers sur petit écran, ça peut paraître couillon. Quand on voit la qualité graphique de ce jeu, on peut aisément se dire que ça ne vaut la peine que sur console de salon et donc écran de télévision. Et donc sur grand écran.
Pourtant, pour ma part, je me contente très bien du support console portative. Tout simplement parce que ça me permet de jouer de partout sans squatter la télé familiale. Et de jouer discrètement aux rares créneaux de temps libres qui s’y prêtent, comme par exemple pendant la sieste du petit le week-end.
Et quand on est fan des titres de l’univers de The Elder Scrolls comme moi, le peu qu’on réussit à avoir, finit souvent par nous contenter. Car L’éditeur, Bethesda, lâche vraiment les chevaux avec les jeux comme Skyrim ou Morrowind. Et pour s’évader en jouant à un jeu immersif, là, on est servi. Super servi !
Skyrim et du temps devant soi
Comme pour tous les jeux d’aventure de ce type, pour profiter ne serait-ce que du plus gros des avantages du jeu, il faut du temps. On passe en effet beaucoup de temps à fouiner dans les immensités naturelles proposées par le cadre du jeu. Ensuite, il faut aussi que son personnage monte en compétences diverses selon son profil, ce qui prend là encore du temps. Enfin, il y a cette infinité de quêtes proposées qui rend le jeu là encore, hyper prenant, pour ne pas dire chronophage.
Aussi, oui, je l’admets. Parfois, quand je ne joue pas pendant un mois ou deux et que je ressors la console, je me sens un peu larguée. Il me faut en général cinq à dix minutes pour retrouver où j’en étais la fois précédente.
Le temps passé sur le jeu n’est d’ailleurs pas synonyme de lassitude. Il est classique de passer des centaines d’heures sur de tels jeux quand on est fan du genre. Disons que ça fait partie du jeu justement. Pour profiter d’une grande partie du potentiel proposé, qu’on aime ces univers pour les combats contre des ennemis ou encore pour les recherches diverses liées aux quêtes.
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