Cela fait déjà plusieurs mois que ce Zamioculcas zamiifolia vit chez nous. Puisqu’il est arrivé ici vers mars 2021, pour mon anniversaire. Depuis, que dire ou écrire sinon que je ne regrette absolument pas de l’avoir choisi comme cadeau ? C’est une plante tellement facile à vivre et dont l’entretien est vraiment très simple. Bref, je l’aime beaucoup, je la laisse relativement tranquille. Et jusque là, elle me le rend bien, en ayant doublé de volume !
Mon beau Zamioculcas zamiifolia
Contrairement à d’habitude, je ne m’étais pas vraiment documentée avant de choisir cette belle plante. Je savais juste qu’elle pouvait tout à fait évoluer en intérieur, sans en souffrir. Ce qui tombait bien puisque je préfère justement, les plantes d’intérieur (même si j’adore aussi les plantes extérieures).
Quand il est arrivé chez nous, le Zamioculcas zamiifolia avait cinq ou six grandes tiges. Je la trouvais déjà très chouette et bien fournie. Elle était vraiment en très bon état.
L’évolution du ZZ depuis plus de 7 mois
Beaucoup de nouvelles tiges sont arrivées depuis. J’aime pouvoir les distinguer de par leur couleur d’un vert très clair par rapport aux feuilles déjà plus anciennes. J’aime aussi découvrir les tâches noires sur les tiges du ZZ Zamioculcas zamiifolia, qu’on appelle la plante zèbre à cause de ces fameuses tâches. Beaucoup l’appellent aussi, la plante ZZ ou ZZ plant chez les anglophones, en abréviation, parce que son petit nom justement, n’est pas forcément des plus simples à retenir ni à prononcer :)
Entretien du Zamioculcas zamiifolia
Apport en eau du Zamioculcas zamiifolia
Pour ma part, je me contente de l’arroser modérément une fois par semaine aux saisons chaudes. Une fois toutes les deux à trois semaines l’hiver. Sachant que notre plante ZZ reste dans la cuisine tout le temps, d’abord très près de la fenêtre lors des premiers mois, puis à environ 1 m 50 de la fenêtre depuis cet été. Donc à mes yeux, ce n’est pas une grande buveuse. J’oublie même régulièrement de l’arroser et comment dire : On dirait presque parfois que ça ne fait pas de différence. En fait, quand j’ai un doute, je regarde et touche son substrat. Et s’il est vraiment très sec, alors là, j’arrose mais toujours modérément. Cela tombe bien car j’ai souvent lu que si elle craignait bien une chose, c’était les arrosages trop généreux et/ou fréquents.
La lumière et le Zamioculcas zamiifolia
Là encore, mes expériences avec le Zamioculcas zamiifolia rejoignent exactement ce que j’ai pu lire sur lui. En effet, pendant plusieurs mois nous avions placé le Zamioculcas zamiifolia collé à notre Monstera deliciosa en terre, à moins d’un mètre de la fenêtre de la cuisine. Luminosité donc au maximum, sans soleil direct. Elle poussait déjà vite. Pourtant, parce qu’on a réorganisé un peu tout ça par la suite, le Zamioculcas zamiifolia a été bougé un peu plus loin de la fenêtre. Et vous savez quoi ? La plante propose pourtant toujours autant de nouvelles pousses et d’aussi belles feuilles depuis ! En gros, l’éloignement de la lumière naturelle n’a pas changé la donne;
Les origines du Zamioculcas zamiifolia
D’après mes quelques lectures, le Zamioculcas zamiifolia serait originaire du secteur de Zanzibar en Tanzanie. Elle est généralement située plus largement comme venant d’Afrique de l’Est.
Un peu de culture !
Je ne sais pas si je suis attirée et intriguée par le Zamioculcas zamiifolia parce qu’il est de la même famille que la Monstera déliciosa, mais ce sont pourtant bien des membres de la même famille des aracées :)
Et son pot ?
Je n’ai plus de cache-pot à taille qui convienne chez nous, pour y installer notre plante ZZ. Ce sera sûrement une chose à laquelle je pallierai à l’avenir. Mais ça n’est pour le moment pas une priorité. Cela ne l’empêche pas de très bien évoluer, même si ce n’est évidemment, pas très esthétique.
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